Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Opaline, une plume et un piano...
Opaline, une plume et un piano...
Visiteurs
Depuis la création 49 407
Archives
31 octobre 2015

Pensée

   Et si j'embrasse une sorcière, est-ce qu'elle deviendra une fée ?

 

© 2015, Opaline.

Publicité
30 octobre 2015

Pensée

   Faudra-t-il vomir tout ce qu'on déteste, avant de voir entrer dans nos vies tout ce qui nous plaît ?

 

© 2015, Opaline.

29 octobre 2015

Le feuilleton (la suite)

   Mais Nicolas n'avait pas trop bu. Il avança tant bien que mal cherchant des yeux un refuge : tout était flou. Il se retrouva plus ou moins dans les bras de la femme au chapeau, qui se promenait toujours sur le pont. Avec ses grands yeux clairs et son sourire inconditionnel, elle attirait les regards de tous les hommes, qui pourtant ne l'approchaient guère. Aucun d'eux ne comprenait qu'elle fût toujours seule, elle, la paix, la joie et le bonheur incarnés.

  

(à suivre...)

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

28 octobre 2015

Pensée

   Ce soir, j'envoie un baiser à la lune ronde, celle qui éclaire le monde, par ces nuits si noires. Comme elle était belle, presque pleine, avec quelques nuages discrets en écharpe, pour qu'elle ne prît pas froid. Grâce à elle, le noir s'était fait gris, et l'on y voyait clair, mieux que les autres nuits.

 

© 2015, Opaline.

27 octobre 2015

A Grand Corps Malade

A Grand Corps Malade

(section des poèmes nouveaux)

 

Ô toi, Grand Corps Malade,

A l'apparence fade

Quand on te voit de loin,

Dès que ta voix résonne,

Alors je me cramponne

Pour ne pas défaillir.

Le son de ta voix grave

Fait de moi une enclave

Encerclée de frissons,

Les mots coul'nt dans ta bouche

Et chacun d'eux me touche

Au plus profond du cœur.

Ta voix comme une étrave

Fait de moi une esclave

Pour ton éternité.

Je reste sans bouger

A tes mots accrochée

Et m'enivre du rythme

De ton phrasé.

Eh toi, Grand Corps Malade,

Non, tu n'as rien de fade,

Le poète envoûté.

Avec les mots tu jongles

Et ce, du bout des ongles,

Tes griffes acérées

Qui percent les remparts

Et nous laissent hagards

Emus, touchés, vaincus.

Un jour, Grand Corps Malade,

Tu liras ma tirade

Au hasard d'un chemin

Tu n'auras pas ma voix

Et c'est bien mieux comm' ça

Pour l'imagination,

Toi la récréation

Source de l'émotion

Pleine et universelle.

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

Publicité
26 octobre 2015

Pensée

   Et mon esprit, ce soir, est avec le vieux chat du théâtre. Celui de Mogador, dont les yeux, reflets d'or, gardent bien la mémoire du lieu.

 

© 2015, Opaline.

25 octobre 2015

Voyage

 

 

Villes et paysages qui défilent

On laisse aussi s'envoler les esprits

Y a-t-il sensation plus agréable

Au cœur des existences inutiles

Grands déplacements immobiles, qui

Envoient des milliers d'obstacles au diable

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

24 octobre 2015

Froid

 

Froid

(section des poèmes nouveaux)

 

J'ai froid souvent aux pieds

Lorsque la nuit approche

Et je ne peux ôter

Du fond de ma caboche

Ce sentiment de glace.

 

J'ai froid souvent aux yeux

Quand l'avenir sourit

Et puis qu'au beau milieu

D'un nuage endormi

Je ne vois pas ma place.

 

J'ai froid souvent au cœur

Car enfin le destin

Prenant mon âme sœur

Me force alors la main

Montrant qu'il me dépasse.

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

23 octobre 2015

Cécile

 

Comme une fleur sauvage

Emerveillée par la lune

C'est une fille plume

Inspirée inspiration

La source intarissable

En chaque humain chanteur.

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

22 octobre 2015

Le feuilleton (la suite)

   Dans la grande salle, Nicolas fut pris d'un haut-le-cœur et se jeta à corps perdu hors de la salle pour respirer. Il avait la tête comme prise dans un étau qui serrait, serrait, serrait plus fort, à chaque seconde. Il se retrouva au milieu d'un groupe de jeunes gens qui tournaient sur eux-mêmes en élevant les bras au ciel. Il tituba tant le malaise devenait fort et les moqueries des jeunes fusèrent à son endroit. A tous les coups, ils le prenaient pour un soûlard venu déverser son trop-plein.

  

(à suivre...)

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

Publicité
1 2 3 4 > >>
Publicité
Newsletter
20 abonnés
Publicité