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Opaline, une plume et un piano...
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21 octobre 2015

Pensée

   Et pourquoi donc les mêmes rues, les mêmes éclairages, les mêmes maisons, les mêmes jardins, les mêmes arbres peuvent-ils générer des émotions si contraires ? Un soir c'est la joie d'être sorti qui domine, avec son apaisement, ses sourires et son bien-être. L'autre, c'est la peur qui monte, la sensation d'être suivi, celle étrange qu'il va arriver quelque chose de mauvais et qu'il faut se méfier, qu'il faut se protéger. La couleur des lieux a changé, tout en restant parfaitement similaire...

 

© 2015, Opaline.

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20 octobre 2015

Pensée

   Quelle merveille que la musique de Prokofiev ! Comme elle s'attache aux personnages pour en faire sortir la personnalité par tous les pores de la peau ! Et comme la chorégraphie de Kenneth Mac Millan est claire et pure émotion ! C'est ainsi que l'on devrait découvrir Roméo et Juliette, par le ballet classique.

 

© 2015, Opaline.

19 octobre 2015

Pampa

Pampa

(section des poèmes nouveaux)

 

Sous le soleil rasant de cette fin d'automne

Les herbes de pampa dansaient dans le vent clair

Agitant haut leurs plumes d'ivoire si fines

Sur la pâleur du ciel d'une humeur séraphine.

Les buissons qui faisaient de grandes crinolines

A ces fleurs empennées si près de s'envoler

Etaient vert émeraude, piliers cachés des plumes.

Nature enracinée gonflée de liberté

Que j'aime tes bouquets partout disséminés !

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

18 octobre 2015

Peur

 

Pourquoi cette angoisse soudaine ?

Elle ne reviendra pas

Une intuition toute malsaine

Refuse de partir de moi.

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

17 octobre 2015

Soleil d'automne

Soleil d'automne

(section des poèmes nouveaux)

 

Il met de l'or dans les feuillages

Qui bientôt ne seront plus là,

Les arbres s'habillent de miels

Couleurs et saveurs chamarrées

Jaune et marron en dégradés.

Oui, vraiment, la nature est belle,

Alors surtout protégeons-là,

Nous, l'origine du carnage.

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

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16 octobre 2015

Livide aliénation

Livide aliénation

(section des poèmes nouveaux)

 

Tu sais déjà ce que tu dois penser

Attention à ne pas dévier

Pas de couleurs trop vives

Rentre dans le rang et vite

Attention tes cheveux dépassent

Tu vas sentir la douceur

La facilité de l'obéissance

Ton imagination va lentement

Mais sûrement s'évanouir

Puis elle

S'asphyxiera.

Que dire,

Qu'écrire après ça ?

 

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

15 octobre 2015

Le feuilleton (la suite)

   Jim cherchait des yeux sur tous ses radars. Non, décidément, il ne voyait rien d'anormal. Il reprit ses jumelles, s'efforçant de trouver le navire à qui il devrait porter secours, il en était absolument certain. Il le sentait, et ce soir était un grand soir, un soir bien différent des autres. Pourtant, on n'aurait pas pu lire dans ses yeux de l'inquiétude. Le bruit était lointain. Jim avait eu le temps d'aller faire son discours dans la salle de réception et de revenir. La seule peur qu'il ressentait, c'était celle de ne pas trouver les malheureux en détresse qui rôdaient quelque part autour de lui.

 

 

(à suivre...)

© 2015, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.

CopyrightFrance.com

14 octobre 2015

Pensée

 Comment l'Homme fait-il pour ne pas faire passer la vie avant la violence, dans toutes les circonstances ? Comment fait-il pour ne pas voir en face de lui un semblable en l'autre, un Homme ? Comment, s'il est le premier, peut-il décider d'attaquer ?

 

© 2015, Opaline.

 

 

13 octobre 2015

Pensée

   J'aimerais dormir avec des perles ; des perles de nuées tout embrumées, de jolies perles de rosée, perles de rêves éclatées, des perles de cœur déchirées.

 

 

 

© 2015, Opaline.

12 octobre 2015

Lettre à une mère

   "Je me suis posté au début de la vie, c'est là que l'on a la plus belle vue. Paysage féminin tout en rondeurs et en courbes apaisantes, où je regarde le possible, l'enfant pas encore né, la femme pas tout à fait mère. Je me réchauffe à ces existences en devenir."

René Frydman, Lettre à une mère.

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