Défense
Dans l'adversité
Etre sûr de soi
Faire un bouclier
Entraîner sa voix
Ne jamais trembler
Surtout devant l'autre
Etre imperturbable...
© 2016, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.
Dans l'adversité
Etre sûr de soi
Faire un bouclier
Entraîner sa voix
Ne jamais trembler
Surtout devant l'autre
Etre imperturbable...
© 2016, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.
Le lendemain, les filles prirent un petit déjeuner assez copieux et partirent chacune à son travail après s'être promis de se retrouver pour le repas de midi et faire une demi-journée de shopping.
Nina prit le métro en étant tout à fait détendue. Pas de grise mine, pas de tristesse. C'était limite si elle se souvenait avoir vécu une rupture la veille. Tout bien calculé, elle avait été plutôt vexée que désespérée, piquée au vif de n'avoir pas eu l'initiative pour elle dans cette histoire. Il y a, quand on choisit de faire sortir un partenaire de sa vie, une sorte de résignation à laquelle l'autre, qui subit, ne peut se résoudre. Finalement, elle choisit d'être honnête avec elle-même et se dit qu'elle n'était pas, et n'avait pas été, follement amoureuse, que ça ne serait probablement jamais venu. La façon dont il l'avait traitée l'avait blessée dans son orgueil, mais au bout du compte, il avait raison et c'était inutile de s'accrocher, comme une moule à son rocher, à un homme qui ne voulait pas d'elle. Les portes du métro s'ouvrirent, c'était sa station, Nina sortit de ses pensées juste à temps pour ne pas arriver en retard au travail. Elle s'engouffra dans l'immeuble, un léger sourire aux lèvres.
à suivre...
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(section des poèmes nouveaux)
C'est la rencontre d'une danse
Un homme
Une femme
Dans les regards, des flammes,
Des corps qui se rapprochent
Les visages se frôlent
Puis un brusque détour
Le talon virevolte
La souffrance et l'amour
L'un des deux tient tête
L'autre veut séduire
Il devient dominant
Un bord de précipice
La falaise du géant
Allongé au-dessus
L'autre corps retenu
Est tout à fait confiant
Un et un font-ils deux ?
Lutte des caractères
Dans l'harmonie du temps
Et la sensualité
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Le Pirate boiteux
(section des poèmes nouveaux)
Une cheville frêle
L'autre en bois vermoulu,
Le vieux pirate avance
Claudiquant dans les rues.
Ses épaules tressautent
A chaque pas qu'il fait
Son chapeau noir inquiète
Son vieux manteau râpé...
Dans le fond de son œil
On entend trébucher
Tous les écus dorés
Qu'un jour il a cachés.
Sur une plage, loin,
Au fond du sable, un coffre,
Enfoui profondément,
La clef à sa ceinture.
Pirate à la taverne,
Il jure et boit beaucoup.
Qui trouvera comment
Récupérer un jour
Le trésor endormi ?
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Pour me sentir mieux, peut-être faut-il que je lâche prise. Ou alors il faut que je lâche la prise !
© 2016, Opaline.
Cette fois, j'ai fini de l'harmoniser et de noter toutes les paroles, alors je peux enfin vous la proposer. C'est la partition qui va avec le texte du 28 novembre 2015 et le fichier son du 09 janvier 2016.
Tout cela fait donc partie des choses que vous pouvez encore demander en cadeau jusqu'à la fin du mois dans le post consacré aux cadeaux, Raymonde ;) Vous pouvez même aller farfouiller du côté des partitions piano seul ou des poèmes mis en musique si ça vous chante !
Voici le début en photo :
Je vous propose toujours deux formats de fichier, soit le pdf pour les gens qui savent déjà bien lire la musique, soit le mscz lisible par la dernière version du logiciel musescore (que vous pouvez installer gratuitement en allant sur musescore.org ). J'ai mis la partition avec les reprises et pour ne pas l'alourdir, j'ai mis en dernière page les petites modifications pour la partie voix dans les couplets. Le tout fait cinq pages.
Format pdf pour 3 euros en remplissant le formulaire suivant:
Format mscz pour 5 euros avec le formulaire ci-après:
Une Chouette en hiver
(section des poèmes nouveaux)
La rondeur de la lune
Si pleine et merveilleuse
Brille au cœur de la nuit
Sous son voile de brume.
La lune est ronde et belle
Visage ami gravé
Imprimé dans le ciel
Veillant dans l'azur sombre.
Une chouette chavire
Choit dans la cheminée
Et se trouve bloquée
Par l'ampleur de ses ailes.
Au matin libérée
C'est le gris des nuages
Qu'elle a bientôt rejoint
Pour sa nuit hivernale.
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La pluie fait entendre son égouttement sur la planche de la cheminée, et je m'endors en me demandant ce que sera demain, vu ce qu'a été la journée d'aujourd'hui...
© 2016, Opaline.
Voilà, je me suis aperçue que le nombre de mes visiteurs avait maintenant atteint les 15500, et même dépassé ce nombre. Je ne me rends pas trop compte, mais je suis contente et je tiens à remercier mes lecteurs, les fidèles, abonnés ou non, et les passagers qui au hasard de leus voyages sur le net se retrouvent par chez moi.
Pour ce faire, je vous offre un cadeau parmi mes créations, si vous le souhaitez, jusqu'au 31 janvier 2016. Il vous suffit de me laisser un petit commentaire en dessous pour me dire laquelle vous intéresserait. Je vous dirai si c'est possible (et dans quel délai, le cas échéant pour création inédite), puis on fera un contact par mail pour la transmission.
Belle soirée à tous et encore merci !
Elles se mirent à commenter le film de temps en temps, à éclater de rire, parfois, puis, une fois leur thé bu, Nina s'était petit à petit affalée dans le canapé, la tête appuyée sur Sybille. Nina se ressourçait auprès de Sybille. Elle renaissait de ses décombres à chaque déconvenue. C'était si difficile de se dire qu'on valait quelque chose malgré ses échecs. Mais Sybille la convainquait. Elle avait l'impression d'être importante pour son amie, une sorte de sœur que Nina n'avait jamais eue.
"Je peux rester dormir chez toi ? Dis ? murmura Nina.
-Mais oui.
-Tu es sûre, ça te dérange pas ?
-Mais non, t'inquiète."
à suivre...
© 2016, Opaline. Tous droits réservés, reproduction interdite.