Pensée
Accroche, accroche, accroche-toi, ne laisse personne t'écraser les doigts !
© 2016, Opaline.
Accroche, accroche, accroche-toi, ne laisse personne t'écraser les doigts !
© 2016, Opaline.
Quand tu découvres enfin les gens, la réalité t'illumine, quelque désagréable qu'elle puisse être.
© 2016, Opaline.
Une photo s'efface, mais elle reste dans l'œil. Si l'on regarde bien les yeux des photographes, les clichés qu'ils ont pris sont gravés à l'infini. Et chez leurs spectateurs, le miroir est parfait, infini, décalé et multiple.
© 2016, Opaline.
Et que souffle le vent de la nouveauté sur le terreau ancestral de mon existence !
© 2016, Opaline.
Pour me sentir mieux, peut-être faut-il que je lâche prise. Ou alors il faut que je lâche la prise !
© 2016, Opaline.
La pluie fait entendre son égouttement sur la planche de la cheminée, et je m'endors en me demandant ce que sera demain, vu ce qu'a été la journée d'aujourd'hui...
© 2016, Opaline.
Comme parfois les pas que l'on fait nous paraissent petits et nous donnent l'impression de ne pas avancer !
© 2016, Opaline.
Tu penses, tu penses, mais est-ce que tu t'arrêtes de penser quand tu ne penses à rien ?
© 2016, Opaline.
Et le poète s'endort dans le vent de tempête qui souffle au dehors. Qu'en sera-t-il dedans ? Ou bien quand sera-t-il dedans ?
© 2016, Opaline.
Est-ce qu'on a parce qu'on est ou est-ce qu'on est parce qu'on a ?
© 2016, Opaline.